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Rui Orihara [Terminé]

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MessageRui Orihara [Terminé]- posté le Mar 30 Sep - 23:09


Rui Orihara



Prénom : Rui | Nom : Orihara | Surnom : Furie Nocturne ? | Âge : 17 | Date de naissance : 10 Août | Lieu de naissance : Tokyo | Nationalité : Japonais | Orientation sexuelle : Bisexuel, probablement.

Groupe : Brutal People | Raison : L'évidence même | Année scolaire : Troisième année | Cours optionnel : Cuisine & Anglais | Club : Arts martiaux.





Quand on l’aperçoit dans la rue, Rui semble être du genre hautain, à vous regarder de haut, à toujours garder un sourire narquois tandis qu’il vous descend avec des paroles acides. Il paraît être ce genre de personne exécrable dont on se passerait bien. Je n’irais pas jusqu’à dire que c’est totalement faux, et qu’il est en réalité un petit agneau. Il n’est pas un ange, c’est certain, mais on ne peut tout de même pas le qualifier de « démon », ce serait abusé. Rui est souvent incompris, mais ne cherche jamais à dissiper les malentendus : il s’en moque.

Voilà son premier et l’un des plus importants trait de caractère. Très je-m’en-foutiste sur les bords, il n’accorde de l’importance qu’à peu de chose. Vous voyez souvent ça ? Où est le mal à ne pas se soucier de grand-chose, après tout. Si vous lui demandiez son avis, il se contenterait probablement d’hausser des épaules et de se détourner de la conversation comme s’il n’y avait jamais été invité. D’ailleurs, c’est un cas plutôt rare étant donné son allure d’asocial. Il est plutôt taciturne, surtout parce qu’il a pour habitude de ne côtoyer que la solitude. La vie continue !

Vous l’aurez compris, il se fiche pas mal d’être seul, et ne supportera que peu d’être entouré. Par contre, s’il y a bien une chose à savoir sur lui, c’est qu’il est rancunier – et pas qu’un peu. Rui ne supporte pas qu’on lui fasse des crasses, qu’on lui mente, ou qu’on trahisse sa confiance – déjà qu’il faut s’accrocher pour l’obtenir. Il se fera donc un plaisir pour vous pourrir si vous l’avez embêté suffisamment pour qu’il se penche dessus. Toutefois, il est vrai que ce n’est pas le point le plus important à aborder ici. Avant de l’embêter, réfléchissez-bien.

Il ne sait pas trop bien quand est-ce qu’il s’en est rendu compte, ni quand comment et pourquoi ça lui est venu, mais Rui a un goût prononcé pour la violence – surtout physique. Peut-être était-ce à cause de la mort de son père : il ne savait pas comment extérioriser sa peine et sa douleur. Puis il s’est engagé dans un combat après l’école, et tout est allé de fil en aiguille. Il y a pris goût. Plus qu’il ne l’aurait dû. Bien entendu, il n’en est pas fou pour autant, et n’irait certainement pas à tuer – volontairement tout du moins, un accident est si vite arrivé !

Vous voulez en entendre une bonne ? Ce bon gars de Rui, épris de la violence, cuisinier à ses heures perdues, ne sait pas comment s’y prendre avec une fille ! Il a tellement peu l’habitude d’être proche de quelqu’un, qu’il se retrouve vite embarrassé – et impulsif comme il est, il finit souvent par simplement fuir la situation. D’ailleurs, il l’aurait déjà fait avec un gars – tout pour fuir les filles, je vous dis ! Pourquoi vous raconter une telle chose ? Parce que le rencontrer dans une situation délicate serait tordant, vraiment. Et je dois avouer que Rui sait se montrer pas mal imprévisible, rarement, mais tout de même.






Rui est un jeune homme d’une taille tout à fait acceptable – un mètre soixante-quinze -, mais il n’a pas encore terminé sa croissance alors il ne serait pas impossible qu’il gagne quelques centimètres durant l’année. Il possède un corps plutôt fin, mais ne manque pas de muscles pour autant – celle-ci se fait juste discrète. Tellement que sur son ventre, à moins qu’il ne le contracte, il reste plat, sans qu’aucun muscle ne se dessine. Bah, il se trouve plutôt pas mal ainsi, et il n’a pas tort – c’est ça ou être bodybuildé.

Sur le sommet de sa petite tête – pas si petite que ça – se dresse une chevelure indomptable et aussi sombre que la nuit. Les mèches semblent se batailler les unes contre les autres, et pourtant on dirait un « faux-négligé ». Ses cheveux ne dépassent pas la base de sa nuque, mais au-devant, les mèches recouvrent son front et descendent jusqu’au milieu de ses joues. D’ailleurs, en parlant de joue, sur la gauche se dessine un tatouage d’encre noir – après, allez savoir ce qu’il représente. Il en possède deux autres : un dragon occidental lui grimpe le torse, et des ronces lui enserrent la cheville droite.

Comme autre « imperfection » sur sa peau laiteuse, on peut y ajouter les séquelles de son goût prononcé pour la violence. C’est-à-dire, hématomes, coupures et égratignures en tout genre. C’est souvent que ça lui arrive, mais il ne prend pas la peine de les cacher – et parfois de les soigner. Autrement, il y a les bijoux qu’il porte en quasi-permanence : plusieurs piercings-boucles sur son lobe, ainsi qu’une simple boucle d’oreille qui descend comme une queue de scorpion, tout ça sur la gauche. Une simple boucle pour la droite. Il porte souvent des bagues et des colliers, selon son humeur.

Pour en revenir à son visage, il détient des traits fins sans pour autant en être androgyne – par contre il est imberbe, donc pas besoin de se raser tous les matins, et il en est bien content. Ses sourcils, fins mais pas trop, ont souvent l’air froncés sans raison particulière. Et ses yeux, à peine bridés, se trouvent être vairons. L’un, le droit, est presque noir, parfois gris, tandis que l’autre est bien plus clair. La teinte se balance entre le bleu et le gris. Apparemment, ceci lui viendrait de son grand-père, du côté de sa mère. Les gênes n’en font qu’à leur tête !

Malgré ses à peine dix-sept ans, il semble mature et sérieux, presque adulte. Son style vestimentaire renforce d’ailleurs cette image. Celui-ci est simple, mais « classe ». Pour ce qui est des couleurs, il reste dans les tons froids, portant la plupart du temps du noir. C’est aussi cette teinte qui maquille souvent ses ongles. Étrangement, le vernis lui va bien, ne ressort pas spécialement, bien que certaines personnes seront toujours là pour trouver ça « bizarre ». Sans vouloir le vendre, je dirais qu’il est plutôt beau gosse, mais à chacun ses goûts, hein !




« M’man, dans quel carton t’as rangé mes affaires d’école ? M’man ? »

Je sors de ma chambre, l’appelant du haut des escaliers, mais je ne reçois toujours aucune réponse. Légèrement agacé, je descends rapidement les escaliers pour au final retrouver ma mère dans le salon. Mes pas se font plus lents, ne voulant pas la déranger alors qu’elle contemple la photo de mon défunt père. Il est mort il y a quelques années dans un malheureux accident de voiture, c’était peu de temps après mon entrée au collège, donc nous avons eu le temps de nous en remettre. Je viens m’asseoir à côté d’elle, un peu penché pour zieuter la photo.

« Tu penses que p’pa aime la nouvelle maison ? J’la trouve un peu grande pour nous deux, surtout que j’serais rarement là. »

Du coin de l’œil, je vois un sourire se dessiner sur ses lèvres. Elle se contente d’hocher la tête pour me répondre, avant de poser la photo sur le meuble face à nous. Je me souviens encore très clairement de l’état de ma mère lorsqu’elle a appris l’issu de l’accident. Elle était effondrée, comme n’importe quelle femme aimant son mari. Mais elle a su rester à flot, pour moi principalement. Un petit coup d’œil en sa direction m’indique qu’elle caresse distraitement son alliance ; elle fait toujours ça lorsqu’elle pense à lui.

« Eh, m’man. Tu t’souviens de c’que tu m’disais quand j’étais gosse pour me remonter le moral ? »

Lorsque j’étais enfant – et encore maintenant -, je n’avais aucun ami. Ce n’est pas comme si je n’aime pas la solitude, mais ce que je n’aimais pas c’était qu’on ait peur de moi sans raison. Enfin, pour moi, c’était injustifié. Bien sûr, j’ai fini par me faire quelques amis, par-ci par-là, mais ça n’a jamais duré. J’imagine que je me suis fait à la solitude. Ou bien ils finissent tous par avoir peur de moi et avec raison, allez savoir ! Quoiqu’il en soit, chaque fois que je rentrais de l’école après une dure journée, ma mère me disait toujours :

« Tout va bien, Rui. Ton père était comme toi à ton âge, et regarde-le à présent. N’est-il pas comblé de bonheur ? Lorsque tu seras grand, ton monde brillera de mille feux. Ta vie deviendra un festival éternel. Alors, tu n’as pas à t’en faire. »

Son air agréablement surpris que je me sois rappelé avec exactitude de ses paroles, me fait doucement rire. C’est sur cette note un peu plus joyeuse que je délaisse le salon pour retrouver ma nouvelle chambre. Des tas de cartons sont posés aux quatre coins de la pièce, ne demandant qu’à être déballés. Ma mère a finalement tourné la page, ça ne m’étonnerait pas de ne pas la voir porter son alliance demain. Lorsque son boulot lui a proposé un nouvel emploi ici, elle a sauté sur l’occasion. Je n’ai pas eu mon mot à dire, mais ce n’est pas comme si j’allais m’y opposer.

Mon téléphone vibre dans ma poche. Je soupire avant même de connaître l’identité de mon futur interlocuteur. Il s’agit de mon ex-petite-amie. Qu’est-ce qui m’a pris de sortir avec elle ? J’ai profité du déménagement pour couper les ponts avec elle, mais ça n’a pas eu l’air de lui plaire – qu’est-ce que ça peut me faire, tiens. Je ne crois pas aux choses comme le grand amour, avec un A majuscule, ou à l’amitié éternelle et autres conneries du même genre. Alors oui, je ne suis aimable qu’avec ma mère, car je sais que tant qu’elle n’est pas au courant de mes petites activités, on sera toujours unis.

J’éteins l’appareil et le jette sur mon lit pour ne plus avoir à m’en préoccuper. De là, je reprends mon déballage là où je l’avais laissé avant d’aller voir ma mère. Beaucoup de personnes pensent que je vends et consomme de la drogue. J’ai une tête à me défoncer, apparemment. Pourtant, je n’y ai jamais touché de ma vie. Le paquet de cigarette posé sur mon bureau me saute aux yeux. Bon, d’accord, presque pas touché. Mais est-ce seulement considéré comme tel ? A mon ancien lycée, tout le monde fume. Je me suis pris au jeu, et je ne peux plus m’en passer. C’est malin !

Rien que de zieuter le paquet m’a donné envie de m’en griller une ; je ne me fais pas prier, une fois avoir ouvert la fenêtre pour ne pas garder l’odeur du tabac. Je m’appuie contre l’encadrement, contemplant d’un air songeur la ville dans laquelle je vis désormais. Il y a une autre chose dont je suis très dépendant : la violence. Tant dans les mots – bien que je préfère être spectateur dans ce cas-là, n’étant pas très doué avec la locution -, que dans les gestes – et là je suis l’un des acteurs principaux. C’est probablement dû au fait qu’on me traitait toujours comme si je n’étais qu’un monstre assoiffé de sang – ah, les enfants.

« Rui, tu devrais vraiment arrêter de fumer, c’est mauvais pour la santé… »

Je tourne la tête vers ma génitrice, retirant le bâton de nicotine d’entre mes lèvres le temps d’expirer ma fumée qui se fait attirer à l’extérieur, puis l’y replace comme si de rien était. Je glisse une main sur ma nuque que je masse distraitement ; un geste que j’ai toujours pour exprimer mon embarras ou une émotion qui s’y rapproche. Je ne peux pas accéder à la demande de ma mère. Pas uniquement parce qu’elle me le demande, en tout cas. Lorsque je sentirais que ça me bousille, j’arrêterais. Mais c’est comme le combat, j’y suis totalement addictif. Bien entendu, elle ne le sait pas – ça la blesserait probablement.

« … Hm. Pourquoi tu n’embrasses jamais ma joue tatouée ?
- Aucune idée, peut-être que je ne veux pas salir ton tatouage. »

J’arque un sourcil, trouvant sa raison plutôt stupide. Elle se recule après m’avoir gentiment ébouriffé les cheveux, puis sort de ma chambre, me laissant seul avec ma cigarette dont je tire une nouvelle latte. Parfois, je m’étonne de sa passivité. Elle n’a rien dit lorsque je suis revenu avec ce tatouage sur la figure. Ni avec celui sur mon torse. Et encore moins avec celui qui est apparu à ma cheville. Peut-être pense-t-elle qu’il ne s’agissait que d’un caprice d’adolescent – et elle n’aurait absolument pas tort. Je les ai faits parce que je les trouve « cool ».

Je me retourne vers ma fenêtre, une légère brise faisant virevolter mes mèches sombres et caressant mon visage agréablement. J’aime bien l’air d’ici, je suppose que je vais m’y plaire, quand bien même ça va plutôt bien me changer de ma bonne vieille capitale. De toute façon, je n’ai pas d’autre choix que de m’y plaire, parce qu’il est bien évidemment hors de question que je quitte la ville. Ou, devrais-je plutôt dire, que je quitte ma mère. Je ne la laisserais pas seule : elle est la seule personne qui compte pour moi. En bref, j’espère que ma rentrée se passera bien – mais il n’y a pas de raison pour que l’inverse se produise, hein ?





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Dernière édition par Rui Orihara le Dim 5 Oct - 23:41, édité 4 fois
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Florian Takiya
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Florian Takiya
MessageRe: Rui Orihara [Terminé]- posté le Mer 1 Oct - 14:54

Bienvenue ici et amuse toi bien ! Courage pour ta présentation ;)
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MessageRe: Rui Orihara [Terminé]- posté le Mer 1 Oct - 16:46

Bienvenu au Pensionnat Rayen ! :D
Tu as deux semaines pour terminer ta fiche, n'hésite pas à poser tes questions si tu en as besoin ♥
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Sakura Haru
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Sakura Haru
MessageRe: Rui Orihara [Terminé]- posté le Ven 3 Oct - 19:26

Bienvenue ! ^^
Ton code de validation me semble bon, Nelly-Pi a dit le plus important !
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Invité
Invité
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MessageRe: Rui Orihara [Terminé]- posté le Dim 5 Oct - 23:42

Merci à vous trois ♫

Je vous annonce que ma fiche est terminée 8D - en espérant que tout soit correct, haha - ♥
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Eriko Ishida
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Eriko Ishida
MessageRe: Rui Orihara [Terminé]- posté le Lun 6 Oct - 0:49

Je ne vois aucun problème. Je t'annonce donc officiellement que tu es validé =)
Et je veux un rp avec toi (quoi ? C'est pas là les demandes ?)

N'oublie pas de passer par les listings et de faire ta demande de chambre et amuse-toi bien parmi nous ! =)
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Contenu sponsorisé
MessageRe: Rui Orihara [Terminé]- posté le

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Rui Orihara [Terminé]

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